Laurent le Crabe

Photoreporter, photographe de plateau et consultant digital

AMBIANCE SCANDALE _ (wip)

Travail en cours, documentation de la scène tattoo underground marseillaise.

« Tatoue-moi tes peines que je les souffres à ta place. »

Plus de 20 ans après la Haine, désormais le Seum.

–

Work in progress, documentation of the underground tattoo scene in Marseille.

« Tattoo me your sorrows so I can suffer them for you. »

More than 20 years after la Haine, now le Seum.

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Non-exhaustive documentation between 2018 and 2020 of a part of the Marseille underground tattoo scene. They revolve around the Cour Julien district, La Plaine, the Mecca of street culture and graffiti in Marseille.They tattoo in private salons, often in their own apartments, and influence a whole section of Marseille s youth fed by the sounds of Jul, ultra violence and cannabis. These young people, girls as well as boys, are indelibly wrestling with their sorrows as much as their hopes, as if to exorcise the malaise of an entire generation, of an entire era. 25 years after the Hate of Mathieu Kassovitz, now the Seum. Laurent le Crabe / Hans Lucas. Documentation non exhaustive entre 2018 et 2020 d une partie de la scene tatouage underground marseillaise. Ils gravitent autour du quartier du Cour Julien, de la Plaine, haut lieu de la street culture et du graffiti marseillais. Ils tattouent dans des salons prives, bien souvent dans leurs propres appartements et influencent toute une partie de la jeunesse marseillaise nourrie aux sons de Jul, a l ultra violence et au cannabis. Cette jeunesse qui se tattoue autant ses peines que ses espoirs de maniere indelebile, filles comme garçons, comme pour exorciser le mal-etre de toute une generation, de toute une epoque. 25 ans apres la Haine de Mathieu Kassovitz, desormais le Seum. Laurent le Crabe / Hans Lucas.

Non-exhaustive documentation between 2018 and 2020 of a part of the Marseille underground tattoo scene. They revolve around the Cour Julien district, La Plaine, the Mecca of street culture and graffiti in Marseille.They tattoo in private salons, often in their own apartments, and influence a whole section of Marseille s youth fed by the sounds of Jul, ultra violence and cannabis. These young people, girls as well as boys, are indelibly wrestling with their sorrows as much as their hopes, as if to exorcise the malaise of an entire generation, of an entire era. 25 years after the Hate of Mathieu Kassovitz, now the Seum. Laurent le Crabe / Hans Lucas. Documentation non exhaustive entre 2018 et 2020 d une partie de la scene tatouage underground marseillaise. Ils gravitent autour du quartier du Cour Julien, de la Plaine, haut lieu de la street culture et du graffiti marseillais. Ils tattouent dans des salons prives, bien souvent dans leurs propres appartements et influencent toute une partie de la jeunesse marseillaise nourrie aux sons de Jul, a l ultra violence et au cannabis. Cette jeunesse qui se tattoue autant ses peines que ses espoirs de maniere indelebile, filles comme garçons, comme pour exorciser le mal-etre de toute une generation, de toute une epoque. 25 ans apres la Haine de Mathieu Kassovitz, desormais le Seum. Laurent le Crabe / Hans Lucas.

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Non-exhaustive documentation between 2018 and 2020 of a part of the Marseille underground tattoo scene. They revolve around the Cour Julien district, La Plaine, the Mecca of street culture and graffiti in Marseille.They tattoo in private salons, often in their own apartments, and influence a whole section of Marseille s youth fed by the sounds of Jul, ultra violence and cannabis. These young people, girls as well as boys, are indelibly wrestling with their sorrows as much as their hopes, as if to exorcise the malaise of an entire generation, of an entire era. 25 years after the Hate of Mathieu Kassovitz, now the Seum. Laurent le Crabe / Hans Lucas. Documentation non exhaustive entre 2018 et 2020 d une partie de la scene tatouage underground marseillaise. Ils gravitent autour du quartier du Cour Julien, de la Plaine, haut lieu de la street culture et du graffiti marseillais. Ils tattouent dans des salons prives, bien souvent dans leurs propres appartements et influencent toute une partie de la jeunesse marseillaise nourrie aux sons de Jul, a l ultra violence et au cannabis. Cette jeunesse qui se tattoue autant ses peines que ses espoirs de maniere indelebile, filles comme garçons, comme pour exorciser le mal-etre de toute une generation, de toute une epoque. 25 ans apres la Haine de Mathieu Kassovitz, desormais le Seum. Laurent le Crabe / Hans Lucas.

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